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Les contrats en euros dépendent actuellement du contexte économique et financier. Par conséquent, il peut subir des modifications dans les années futures si l’on continue à ce rythme. Rappelons que l’assurance vie est un véhicule d’investissement qui est né d’un accord tacite entre les assureurs. Les investisseurs sont tentés de s’y inscrire parce que l’assurance vie constitue une enveloppe fiscale motivante qui permet le développement assuré des activités. Ce qui privilégie donc aux souscripteurs d’optimiser leur placement même si ce type d’optimisation est pris comme abusif pour les fonds en euros.
Actualités sur les contrats d’assurance vie en fonds en euros
Aux dernières nouvelles, les fonds en euros ne garantissent plus un rendement d’investissement satisfaisant aux souscripteurs. Ceci est causé par le fait que ceux qui effectuent des contrats en euros ne bénéficient en ce moment que de son propre capital, contrairement aux contrats d’assurance des années précédentes qui ont offerts un taux de rendement et un sur-rendement aux épargnants. Et même si les assureurs arrivent à offrir la participation aux bénéfices, la source et le flux décroissent inévitablement. Il est même très probable que les taux garantis vont virer à zéro et que des faillites surviendront vu que la situation s’aggrave. Autrement dit, au moindre problème comme la baisse violente des actions ou le défaut grec, les contrats en euros ne peuvent plus couvrir ou absorber les coûts. C’est d’ailleurs pour cette raison que les investisseurs qui ont décidé de placer leur argent sur ce genre de support courent de grand danger. Ce qui explique le fait que ces derniers essaient d’orienter les flux vers les unités de compte et se trouvent dans l’obligation de laisser de côté leurs contrats initiaux.
Quelques raisons de rester positif sur les contrats en euros
Pour remédier à ce souci des contrats en euros, les assureurs restent optimistes et pensent à changer les règles. D’où le contrat d’assurance-vie du futur peut promettre un redressement aux souscripteurs car il y a lieu de savoir que les conditions du marché sont en voie d’amélioration et que certainement on va bientôt assister à une légère remontée des taux obligataires. De plus, les assureurs ont trouvés comme une autre solution à ce problème le fait d’effectuer une réserve de rendement en gonflant la PPB ou Provision de Participation aux Bénéfices. Ainsi, l’ACPR a évalué que cette dernière constitue à présent 2,8% des encours. Et pour terminer, on ne peut pas ignorer la diversité du marché qui prouve que les fonds en euros ne sont pas encore totalement condamnés à l’heure où l’on parle, car aucun facteur ne signe sa déchéance.